Toutes les manifestations avec du public ce sont soudainement arrêtées. Vous vous en souvenez, des salons de l’auto ont été annulées, des rendez-vous sportifs aussi. Aujourd’hui on a tous hâte de pouvoir à nouveau se rendre dans des musées, des festivals, des foires…
Un salon auto c’est de nombreux emplois
On ne peut pas imaginer à quel point la crise sanitaire Covid-19 a fait du mal si l’on n’est pas concerné directement. Vous vous doutez tout de même que pour un salon de l’automobile il faut énormément de personnel à l’organisation, que ce soit en terme de logistique, marketing et présence sur le terrain. On a vraiment hâte de voir la reprise des salons, des festivals, des concerts, des fêtes, pour que puissent travailler à nouveau les professionnels de l’événementiel, les intermittents du spectacle, les saisonniers… Tout cela fait du monde, des employés, des techniciens, des hôtesses qui aujourd’hui attendent la reprise.
Une reprise comme avant ?
Ce ne sera pas comme avant, car les gestes barrières vont rester. On ne saurait imaginer pouvoir se rendre à un salon de l’automobile à Genève ou ailleurs sans porter le masque. C’est ce que l’on pense aujourd’hui, à l’heure où nous écrivons cet article, nous sommes encore en pleine pandémie. Mais allez savoir, peut-être que l’on se déplacera librement, que ce coronavirus sera définitivement vaincu grâce aux vaccins. Qui sait ? En attendant, on se languit, on est impatient que les beaux jours reviennent pour sortir, pourquoi pas allez voir un rassemblement de voitures anciennes, un musée de l’automobile…
Pour info, il faut savoir que les salons de l’automobile ont payé cher ces 2 années blanches, et cela aurait pu couter la disparition de certains. Francfort c’est fini, il sera délocalisé à Munich, Genève pourrait survivre grâce à des investisseurs privés (voir l’info) et on souhaite évidemment que Paris résiste.